Didier Vallé

1958 - 2023

Depuis sa plus tendre enfance, Didier est fasciné par le dessin. Il est aux anges quand ses parents lui offrent quelques crayons de couleur, qu’il ne lâchera plus. Il recopie des cases de Tintin, Astérix et ses cartes de géographies sont ses premières œuvres d’art. L’objet est toujours au centre de son intérêt. Il devient graphiste dans la publicité. Cette nouvelle profession n’assouvit pas sa fascination pour les matières et leurs bouillonnements… Les codes artistiques du Pop Art l’influencent, cadrages serrés et motifs graphiques sont exploités dans deux nouvelles séries de “tableaux de bord” et de “Formule1” dans lesquelles rien n’est dédaigné par son œil…Il est repéré par la galerie vitesse à Paris qui expose pour la première fois son travail. Il s’installe à Bordeaux en 1998. Des compteurs de voitures, il passe aux cadrans de montres. Les détails l’obsèdent. Il peint des singes pour “se reposer”. La plupart de ses toiles seront vendues en avril 2010, à la galerie G62. Il déménage son atelier dans le quartier de la Grosse Cloche. Les chaises empilées deviennent sa nouvelle obsession.

”Peintre hyper figuratif, j’ai, après des études d’art classiques, et quelques années dans la publicité appris à aller à l’essentiel.
Inspirés du Pop Art, mes sujets, objets du quotidien ou icônes mythiques, sont cadrés, serrés sur un fond uni, et nous renvoient leur évidente beauté. Les matières, les reflets et les transparences sont des éléments importants de mon travail: brillances, usures, rouille et éclats donnent vie à ces natures “mortes”.
Nous les voyons alors avec un autre regard, qui rapproche art et réalité.”

OEUVRES
Acrylique sur Toile.
Catégorie de prix inférieurs à 4.000 €

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Delwood